Trouvezfacilement un Centre de dialyse à Île-de-France et prenez rendez-vous pour vous ou vos proches à son cabinet ou en téléconsultation. Afinde préparer au mieux votre séjour et votre accueil, nous vous recommandons de prendre contact avec nos assistantes aux coordonnées suivantes : Tél : Centresde Dialyse Avec l'annuaire Santé en France, trouvez les coordonnées du centre de dialyse le plus proche de chez vous ou de votre lieu de vacances pour partir en toute sérénité. Alsace Bas-Rhin (67) Haut-Rhin (68) Aquitaine Dordogne (24) Gironde (33) Landes (40) Lot-et-Garonne (47) Pyrénées-Atlantiques (64) Auvergne Allier (03) Cantal (15) Desstructures de dialyse les accueillent et leur permettent de profiter de leurs vacances avec dialyse en toute sérénité. Vacances dans notre région L’ECHO, compte tenu de sa situation géographique et de l’attractivité du littoral atlantique, accueille des patients en vacances dans l’ensemble de ses structures. Vivreavec la dialyse. back; Vivre avec la dialyse; Rester actif; Hygiène; Pourquoi avez-vous besoin d’une fistule? Magazine patients; Droits et devoirs des patients; Quelques conseils généraux; Votre alimentation; Expériences du patient. back; Témoignages; Patients hémodialysés; Patients dialysés à domicile; Patients transplantation; Dialyses pendant les Toutcomme en France, la technique utilisée dans les centres de dialyse tunisiens est l'hémodialyse conventionnelle au bicarbonate. Les équipements utilisés sont des machines Fresenius 4008S de marque allemande avec filtres de En2011, près de 100 patients français en Dialyse Péritonéale sont partis à l'étranger ; dans le même temps, la France a accueilli plus de 130 patients en Dialyse Péritonéale. Au préalable, le néphrologue confirmera que l’état de santé du patient est compatible avec le déplacement. 9nv4. Espace réservé aux professionnels de santé Physidia répond aux professionnels Est-ce que le patient peut modifier le traitement ? La prescription médicale est inscrite sur la Carte Patient Individuelle délivrée lors de la consultation médicale dans le centre référent. Cette prescription ne peut pas être modifiée par le patient. Lors de la mise en route du moniteur S3, la carte patient est lue et la séance se déroule selon les indications strictes de la prescription, en toute sécurité. Comment est prise en charge la technique ? Le traitement à domicile est délivré selon la prescription du néphrologue et l’équipe médicale. Ce traitement est entièrement pris en charge par la Sécurité sociale, au même titre que les autres options de traitement de l’insuffisance rénale chronique. Est-ce que le patient peut voyager ? Le moniteur S3est très compact et peut être transporté facilement en voiture personnelle. Ainsi, le patient peut réaliser les séances de dialyse en dehors de son lieu d’habitation habituel, pour un week-end ou pour des vacances. Le centre de dialyse, avec l’appui de Physidia, peut organiser l’acheminement des consommables sur les lieux de vacances des patient, en France métropolitaine ou ailleurs voir onglet Nos Services aux patients. Est-ce que Physidia peut livrer les patients directement ? Sous certaines conditions, Physidia peut fournir le service de livraison des patients à leur domicile. N’hésitez pas à en parler à votre interlocuteur chez Physidia pour étudier cette possibilité, selon la localisation géographique de vos patients. Est-ce que la dialyse quotidienne à domicile bas débit est suffisamment efficace ? L’hémodialyse quotidienne est reconnue aujourd’hui comme la thérapie la plus physiologique pour le patient insuffisant rénal car elle se rapproche le plus du fonctionnement du rein natif. De nombreuses publications décrivent les bénéfices thérapeutiques de la dialyse quotidienne bas débit à domicile et montrent que son efficacité conduit à l’amélioration de l’état de santé général du patient ainsi que de sa qualité de vie – diminution de l’hypertension artérielle, diminution de l’hypertrophie ventriculaire gauche, réduction des chélateurs de phosphate – et diminue le risque de complications métaboliques et cardiovasculaires. Vous pouvez consulter nos références bibliographiques pour plus d’informations sur le bénéfice santé de l’hémodialyse quotidienne à bas débit. Est-ce que la convection avec le moniteur de Physidia augmente le volume de dialysat nécessaire ? Le moniteur S3 permet de réaliser une convection interne maitrisée – SeCoHD – pendant la séance de dialyse, grâce à la technique de retro-filtration au niveau du dialyseur, sans apport de liquide de substitution. Elle est donc réalisée à volume de dialysat stable. De plus, le moniteur S3 fonctionne à bas flux de dialysat, ce qui permet une consommation très faible de liquide – en général le volume de dialysat nécessaire pour une séance de 2h est de 25l. De plus, la qualité de dialysat fourni en poches stériles et apyrogènes est toujours constante, ce qui garantie la qualité de la dialyse convective réalisée. Comment peut se faire le suivi des patients à domicile ? Le moniteur S3 est un moniteur communiquant. Les données de la séance de dialyse sont transmises après chaque traitement au centre référent et le néphrologue peut suivre la qualité de la thérapie délivrée. Ainsi, le patient n’est pas isolé pendant son traitement et la surveillance de sa thérapie entre deux visites du centre de dialyse est effectuée parfaitement à distance. . En cas de voyage, peut-on sauter une séance ou deux ? Rédigé le 23/05/2012, mis à jour le 24/05/2012 Les réponses avec le Pr. Christian Combe, néphrologue au CHU de Bordeaux "Il faut éviter de sauter des séances de dialyse. Il faut avoir une certaine souplesse, mais la flexibilité reste assez réduite avec l'hémodialyse. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle les personnes choisissent leur lieu de vacances en fonction des centres de dialyse disponibles pendant le séjour. Il y a donc des aspects géographiques, mais aussi des aspects réglementaires, puisque dans les antennes de dialyse on ne peut être dialysé que si on est habituellement dialysé en antenne, ce qui pénalise de nombreux patients. Les vacances, les déplacements, se prévoient à l'avance." En savoir plus Dossier Questions/réponses Y a-t-il un traitement médicamenteux qui accompagne les dialyses ? Voir la réponse en vidéo* Faut-il préférer la dialyse à l'hôpital ou à domicile ? Voir la réponse en vidéo* Est-ce que tout le monde peut être hémodialysé ? Voir la réponse en vidéo* Est-il vrai que juste avant et pendant une dialyse, on peut manger et boire tout ce qu'on veut ? Voir la réponse en vidéo* * Les réponses avec le Pr. Christian Combe, néphrologue au CHU de Bordeaux Pour ne manquer aucune info santé, abonnez-vous à notre newsletter ! Insuffisance rénale NEWS Publié le 05/07/2011 à 1721 Tout le monde a besoin de changer d'air de temps en temps. Y compris lorsqu'on souffre d'insuffisance rénale. Heureusement, des solutions existent pour combiner vacances et dialyse. Pas facile de partir en vacances quand on a besoin d'une dialyse trois fois par semaine pendant quatre heures. Mais pas impossible non plus. Un certain sens de l'organisation peut être nécessaire si vous souhaitez partir par vos propres moyens. La tâche est moins ardue pour les personnes qui intègrent des formules "vacances en groupe" avec d'autres patients dialysés. Des vacances avec d'autres insuffisants rénaux Les associations de patients atteints d'insuffisance rénale ont l'habitude d'organiser pour leurs membres des séjours en Belgique ou à l'étranger. Ce genre de formule comporte plusieurs avantages. D'abord, vous passez vos vacances à proximité d'un centre de dialyse. Ensuite, médecins et infirmières sont souvent du voyage, ce qui vous permet de bénéficier à tout moment d'une assistance médicale. C'est par exemple le cas avec l'ADIR Association de Défense des Insuffisants Rénaux ou la LIR Ligue en faveur des Insuffisants Rénaux. Les enfants ne sont pas en reste puisque l'association ADEMAR les Amis Des Enfants Malades Rénaux organise des vacances pour enfants et adolescents, et leur propose même un stage sportif. Le tout encadré par une équipe de médecins et d'infirmières de l'HUDERF Hôpital Universitaire des Enfants Reine Fabiola. Partir en vacances seul ou en famille À vos yeux, rien ne vaut les joies de l'aventure? Très bien, mais autant prévoir à l'avance vos séances de dialyse. Un répertoire des centres du monde entier est disponible dans les hôpitaux et les centres de dialyse. Il existe aussi un moteur de recherche qui vous permet de trouver le centre le plus proche de votre escale ou lieu de villégiature Lorsque vous aurez choisi votre centre de dialyse, votre néphrologue pourra y envoyer toutes les informations relatives aux conditions techniques dans lesquelles vous devrez être dialysé. Vous êtes découragé à l'idée de devoir réserver et un lieu de villégiature, et des séances de dialyse dans un centre ad hoc? La société Holiday Dialysis International se charge pour vous de ce dernier volet des préparatifs, et ce quel que soit le pays dans lequel vous comptez séjourner. Pour ceux qui projettent de partir en France, la société B. Braun Avitum procède de manière inverse. Si vous réservez vos séances de dialyse dans un des centres du groupe, vous bénéficiez d'une aide à l'organisation de votre séjour dans la région. Formule "dialyse comprise" Vous pouvez aussi opter pour un "package" incluant votre vol en avion, votre séjour, mais aussi des séances de dialyse et les transferts pour vous y conduire. C'est ce que propose en Turquie le tour opérateur Corendon Dialysis Holiday Turkey. Vous rêvez plutôt de faire une croisière? Vous avez la possibilité de monter à bord de navires équipés d'unité de dialyse avec l'agence Gérard Pons Voyages. Enfin, il existe dans le monde entier des clubs de vacances qui possèdent leur propre centre de dialyse, répertoriés sur le site du CHR citadelle de Liège. Alors maintenant, plus d'excuses pour rester chez soi durant les vacances d'été! La Vieille Perrotine Saint-Pierre-d'Oléron Au cœur d’un patrimoine naturel d’exception de 37 ha avec deux plans d’eau de mer, de nombreuses voies piétonnes et cyclables, la Vieille Perrotine est un village de vacances adapté... En savoir plus La Maison Clément Les Plantiers Ancienne magnanerie, la Maison Clément est située dans le petit village cévenol des Plantiers, aux portes du Parc National des Cévennes. Découvrez au gré des randonnées à pied, à cheval,... En savoir plus La Villa Clythia Fréjus Dans un grand parc arboré de 2,5 ha, la Villa Clythia bénéficie d’une situation privilégiée au centre du quartier résidentiel de Valescure, à 3 km de la mer. NOUVEAU ... En savoir plus La Maison des Vosges Gerbépal Située à 2 km de Gerbépal, 8 km de Gérardmer, cette accueillante ferme vosgienne située à la lisière d’une forêt de sapins, est un véritable lieu de détente et de... En savoir plus Centre Paul-Langevin Aussois Le village de vacances situé à Aussois, petit village savoyard exposé plein sud aux portes du Parc National de la Vanoise à 1500 m d’altitude, est composé du centre Paul-Langevin.... En savoir plus Malgré les bénéfices en termes de qualité de vie pour les patients, l’hémodialyse à domicile est très peu répandue en France. Elle ne concerne que 250 patients sur 48 000 dialysés. Delphine et Régis, deux patients qui ont pu profiter de ce dispositif, témoignent ici de leur expérience, qui s’est révélée tout à fait positive dans leur parcours de soins. DELPHINE, HÉMODIALYSÉE À DOMICILE, RÉGION DE GRENOBLE, 42 ANS En dialyse depuis 26 ans, du fait d’une maladie génétique rare, je suis en hémodialyse à domicile depuis 18 mois. Dans mon centre de rattachement, je suis la seule patiente à bénéficier de l’hémodialyse conventionnelle à domicile. C’est le même principe que la dialyse en centre, à raison de 3 séances minimum par semaine, excepté que désormais, tout se fait chez moi. Je craignais l’hémodialyse quotidienne qui me semblait trop chronophage. Je fais mes séances le soir, en semaine et dans la journée le dimanche. En dialysant ainsi le soir, cela me permet de gérer mes temps de récupération la nuit jusqu’au début de matinée le lendemain. C’est donc une grande souplesse au niveau des horaires qui m’autorisent plus de liberté pour mes activités personnelles et professionnelles. La logistique, avec le prêt du matériel notamment, est gérée par une association et je passe directement par mon médecin traitant pour les questions médicales qui ne concernent pas la néphrologie. J’ai été également formée par une infirmière d’éducation au sein de mon centre de dialyse. Je m’attendais au travail de montage et démontage de la machine, au fait de se piquer soi-même, mais j’avais assez peu anticipé le temps que prendrait l’organisation générale comme la gestion des déchets contaminés, les livraisons, la gestion des stocks, etc. Ce n’est pas spécialement difficile mais j’ai mis finalement pas mal de temps à m’adapter. Ce que je craignais le plus finalement c’était une éventuelle panne de machine et la façon de mettre tout cela en place aussi par rapport à mon mari. Nous nous étions entendus sur le fait que si je n’étais pas à 100% autonome, il était préférable que je retourne en centre. Je ne voulais pas faire peser une charge supplémentaire sur mon mari qui doit cependant être à la maison à chaque séance et m’aide un peu avec une des machines l’osmoseur qui gère la pureté de l’eau. Je sais qu’il appréhendait un peu tout cela car il a peur de la vue du sang. Lui aussi a bénéficié d’une formation. Même si je suis autonome, c’est très rassurant pour moi qu’il soit à la maison à chaque séance, même si nous avons alors chacun nos activités. Il ne reste pas à mon chevet durant 3 heures bien évidemment. Bien entendu, je trouve louable que les associations se battent pour que des patients puissent dialyser à domicile sans l’obligation de la présence d’une tierce personne car il n’y a pas de raison d’exclure les célibataires d’office. Notre chance est que nous avons déménagé au moment de la mise en place de la dialyse à domicile et que nous avons aménagé cette nouvelle maison avec une pièce en sous-sol pour les machines, les stocks, etc. Ainsi, ma dialyse n’empiète pas sur nos espaces de vie. Quand je pars en vacances, je me dirige vers des centres de dialyse là où je séjourne. Pendant mes dialyses, la plupart du temps, je travaille, je regarde la télévision. Personnellement, je voulais de l’autonomie depuis longtemps mais mon médecin me la refusait sous des prétextes plus ou moins légitimes. Il y a un peu plus de deux ans, n’en pouvant plus de me rendre au centre, et après en avoir discuté avec mon mari, j’étais prête à prendre une décision radicale. Je n’en pouvais plus de me sentir infantilisée et j’envisageais sérieusement l’arrêt des soins. J’ai même écrit alors mes directives anticipées. C’était la première fois que je me sentais ainsi en burn-out par rapport à mon traitement. Dès lors, et suite à une médiation via l’Agence Régionale de Santé, l’équipe soignante et moi-même n’avions plus rien à perdre à organiser pour une prise en charge à domicile. Mon médecin continuait à avoir des craintes, mais le centre, en tant qu’entité m’a alors tendu la main pour que la prise en charge à domicile puisse enfin avoir lieu. Depuis, notre relation est symétrique et de confiance, et ça fait du bien ! D’un point de vue professionnel, je suis fonctionnaire en congé longue maladie actuellement mais je souhaite me lancer en tant que patiente-partenaire. En fait, pendant mes 25 premières années de dialyse, toute ma vie s’était organisée autour de mes séances, et désormais, c’est un changement total de paradigme puisque j’adapte mes séances à mes choix de vie. C’est une décision qui influence toute une vie ! J’ai repris confiance en moi, en mes capacités, en mes compétences. Je ne sais pas combien de temps je pourrais le faire, mais tant que je suis autonome, je savoure le fait de pouvoir dialyser à domicile. Je touche une indemnité pour l’eau, l’électricité et pour mon mari. Elle est environ de 300€/mois pour une moyenne de 16 séances mensuelles de 3 heures minimum. Heureusement que je dialyse le soir et le dimanche et que mon mari n’a pas à manquer son travail pour assister à mes séances. RÉGIS, 47 ANS, SOUS HÉMODIALYSE À DOMICILE DURANT 5 ANS, GREFFÉ EN 2018 J’ai une maladie rénale depuis l’adolescence, stable jusqu’en 2013. Après quoi, mes reins ont été très fragilisés et il a fallu envisager la dialyse. Je ne suis pas passé par la case de dialyse en centre ou à l’hôpital et ai directement bénéficié en hémodialyse à domicile. C’était pour moi une évidence car je voulais conserver mon travail dans une banque d’affaires à plein temps. En outre, je désirais être le plus présent possible pour ma famille et me rendre en centre plusieurs heures, plusieurs fois par semaine m’en tiendrait forcément éloigné. Enfin l’idée d’être acteur par rapport à ma maladie me semblait importante. Je crois que c’est dans mon tempérament. En discutant avec l’équipe soignante à l’hôpital Tenon où j’étais suivi, ils m’ont immédiatement proposé la technique à domicile et j’ai tout de suite adhéré. La formation a duré quelques semaines, durant lesquelles je travaillais à temps partiel, puis l’adaptation seul face à la machine ne m’a pas posé trop de problème et j’ai pu reprendre mon travail à plein temps assez rapidement. Je me suis donc ainsi lancé pour 5 ans d’hémodialyse à domicile, à raison de 6 séances de 2 heures par semaine, jusqu’à ce que je puisse bénéficier d’une greffe. Mes journées étaient très chargées durant ces 5 ans. Je travaillais donc à plein temps, je rentrais vers 19h et nous dinions en famille. J’attaquais ensuite la préparation puis la dialyse vers 20h30, jusqu’à minuit. Pendant ce temps, j’essayais de me détendre, de regarder un film, de lire, de m’occuper de mes enfants qui venaient me voir pendant la dialyse. Finalement, ma seule vraie contrainte est que je ne pouvais plus sortir le soir. Au bout d’un certain temps, j’ai demandé à mon employeur d’avoir deux demi-journées de télétravail dans la semaine. J’en profitais pour faire ma dialyse à ce moment-là, ce qui me libérait des soirées. J’ai pu voir à quel point l’hémodialyse à domicile était bénéfique du point de vue de la fatigue, car la première année, durant les vacances, je n’ai pas souhaité me faire livrer la machine sur mon lieu de séjour et j’ai fait mes dialyses de façon classique, dans un centre à proximité, à raison de 3 séances de 4 heures par semaine. J’ai alors ressenti énormément de fatigue et je ne récupérais vraiment que le lendemain de mes séances. Cela m’a conforté dans mon choix d’hémodialyse quotidienne à domicile. Vivant à Paris, on ne pouvait pas pousser les murs pour installer la machine qui avait pris place dans notre chambre à coucher où je dialysais. Il y a cependant également 700kg de consommables à stocker chaque mois, que j’avais remisé dans la cave. Je remontais les stocks nécessaires environ une fois par semaine, que je rangeais dans des boîtes sous le lit. Je voulais dissimuler tout cela au maximum par rapport à l’espace familial. Je ne cachais rien aux enfants cependant et j’ai répondu à toutes leurs questions. Il n’y avait pas de tabou et ils assistaient sans problème à mes séances. Ma femme a été associée au protocole. Elle a assisté à des réunions, a rencontré les infirmières, mais comme j’ai été l’un des premiers en France à bénéficier de l’hémodialyse à domicile, ma femme n’a pas suivi spécifiquement de formation comme c’est prévu aujourd’hui, puisque la technique est désormais encadrée avec l’obligation de présence d’une tierce personne pendant les séances. Par chance, je suis aujourd’hui greffé depuis un peu plus d’un an, mais je me souviens qu’il m’a fallu 15 jours pour réaliser que désormais, je n’avais plus besoin de dialyse. Assez rapidement ensuite, j’ai appelé pour que soient récupérés la machine et les consommables, refaire de la place dans notre chambre à coucher et tourner enfin cette page de la dialyse. 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